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Une belle collaboration entre la créatrice et le client !

Il y a quelques semaines, une cliente que j'avais eu le plaisir de rencontrer précédemment est revenue vers moi avec une idée précise : elle voulait offrir à sa fille un objet décoratif unique, artisanal, et surtout écoresponsable. Après quelques échanges, nous avons décidé de partir sur un bol en papier mâché, fait main à partir de matériaux recyclés.

Comprendre la demande : un défi passionnant !
Ma cliente souhaitait un bol aux couleurs neutres, avec un aspect vieilli et rustique. Je dois avouer qu'à ce moment-là, j'ai pris une grande inspiration en pensant : "Ai-je bien saisi ses attentes ?". Car, il faut le dire, elle avait un œil exigeant... et moi aussi ! Heureusement, nous étions sur la même longueur d’onde, et nous avons pu affiner le projet ensemble.
 

De l'idée à la création : les étapes de fabrication
Tout commence par le mélange du papier mâché, un processus à la fois salissant et amusant (oui, il faut savoir s'amuser avec des mains pleines de papier mouillé et de farine !). J'ai ensuite modelé la forme du bol, puis je l'ai laissé sécher patiemment pendant plusieurs jours.
La finition est une étape cruciale et délicate : j'utilise des peintures acryliques et des pigments naturels pour obtenir l'effet recherché. Pour ce bol, j'ai opté pour une peinture à base de craie naturelle qui donne ce petit aspect vieilli et authentique que la cliente souhaitait. Enfin, un vernis écologique mat a été appliqué pour protéger la pièce.

Le moment de vérité : la présentation au client
Une fois le bol terminé, je laisse toujours s'écouler une semaine avant de contacter le client. Cela me permet de prendre du recul et de voir si des retouches sont nécessaires avant la grande révélation. Ce moment est toujours accompagné d'un petit stress : "Ai-je bien compris son projet ?", "Va-t-elle aimer le résultat ?". Il faut presque une capacité de clairvoyance pour rentrer dans la tête du client !

Heureusement, cette fois encore, ma mission a été réussie. La cliente était ravie de la création, et moi aussi j'ai ressenti une satisfaction discrète. Mais attention, ne vous méprenez pas : je ne fais jamais sauter le bouchon de champagne ! Je préfère me dire que j'ai accompli mon travail, avec modestie et passion... Et vous, qu’en pensez-vous ? Quel objet unique aimeriez-vous voir prendre vie dans mon atelier ?

À demain pour de nouvelles aventures de l’Atelier de Marguerite, et merci pour votre fidélité !
Bon mercredi,
Nadège.


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Les Colis du Jour : Un Voyage autour du Monde... sans Bouger de mon Atelier !








Aujourd'hui, je vous dévoile un aperçu des colis du jour qui prendront leur envol depuis l’atelier. Et quand je dis "envol", ce n’est pas qu’une simple expression ! Destination : Irlande, Allemagne et... Australie ! Oui, oui, vous avez bien lu, l’Australie, le pays des kangourous ! L’Atelier de Marguerite, tel un petit Poucet moderne, sème ses créations un peu partout dans le monde, même à l'autre bout de la planète !

Au programme des commandes du jour : des marque-pages pour des lecteurs allemands passionnés, des magnets personnalisés pour décorer des frigos australiens, et des sous-verres également personnalisés pour accueillir des bières irlandaises. Une belle variété de créations qui ont toutes un point commun : elles ont été faites avec amour et passion ! 

Mais il n’y a pas que la création dans la vie d’un artisan, loin de là ! Une fois les œuvres terminées, place à l’emballage, la préparation des colis, la création des bons d’envoi, et l’impression des timbres. C’est là que le côté moins "glamour" du métier se dévoile... Et je dois vous avouer quelque chose : ce n’est pas vraiment la partie que j'apprécie le plus. Sans parler des déclarations de douane pour les envois internationaux, pfff...un enfer ! 
C’est la tâche la plus fastidieuse, la moins créative, et parfois, un peu casse-tête !

Et vous, si vous étiez à ma place, quelle serait la tâche qui vous plairait le moins en tant qu’artisan ? L’emballage ? La paperasse ? Ou peut-être la déclaration douanière en ligne qui demande trois fois votre poids en patience ?

Bon, c’est pas tout ça, mais après cet article, je retourne à mon atelier. La pile de colis ne va pas s'emballer toute seule, malheureusement... rires !
Ah, si seulement la fée des emballages existait !

En attendant, je vous souhaite une très belle journée, où que vous soyez dans le monde, et qui sait, peut-être que la prochaine fois, ce sera une de vos commandes qui partira pour une "destination exotique" !

À demain pour de nouvelles aventures de l’Atelier de Marguerite, et merci pour votre fidélité, chers globe-trotteurs !
Bon Mardi,
Nadège.

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Colis du jour expédiés

Le 11 Novembre 2024 I Jour de souvenir 







Aujourd'hui, nous commémorons l'Armistice de 1918, un jour empreint de mémoire et de gratitude envers ceux qui ont sacrifié leur jeunesse et leur vie pour la liberté de la France, lors de la première guerre Mondiale. C'est une journée qui me tient particulièrement à cœur, car l'un de mes aïeux est tombé au front lors de la bataille de Verdun, après seulement quelques mois de mobilisation. 

Il y a trois ans, j'ai eu l'honneur de répondre à une demande un peu particulière, une commande spéciale en hommage au 11 novembre : la création d'une broche représentant un bleuet.Mais pourquoi le bleuet est-il devenu le symbole du 11 novembre ?

Un peu d’histoire s'impose : le bleuet de France est né d'une initiative touchante. Après la guerre, les soldats blessés et invalides confectionnaient ces petites fleurs en tissu et les vendaient dans les rues pour subvenir à leurs besoins. Le bleuet a été choisi pour plusieurs raisons : c’était l’une des rares fleurs à pousser sur les champs de bataille, un symbole de vie au milieu du chaos. De plus, sa couleur bleue rappelait celle des uniformes des premiers poilus, ces jeunes soldats français envoyés au front.

En hommage à cette tradition, j'ai donc créé des broches (ou pin's) représentant un bleuet, à la demande d'une cliente qui souhaitait les offrir à ses petits-fils. Pour rester fidèle à l’esprit de l’artisanat et à l’histoire, et toujours selon ses souhaits, je les avais réalisé en bois de bouleau, un matériau noble et naturel, qui apportait une touche de douceur à ce symbole fort. Les broches avaient été créées avec succès.
J'ai su quelques semaines après, que les pin’s avaient bien voyagé et étaient arrivés à bon port : les destinataires étaient ravis de les recevoir en cadeau et, d’après ma cliente, visiblement très émus.Ma mission était accomplie !

Alors en ce 11 novembre, n’oublions jamais cette date qui a marqué notre pays. Que ce jour soit pour nous l’occasion de rendre hommage à ces jeunes Français tombés au combat, et de se souvenir de leur courage.
C’est un peu "mon côté patriote qui ressort", mais je crois qu’il est important de ne pas oublier ! 

Je vous souhaite à tous un bon lundi 11 novembre ! A demain !
Nadège.


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                                                    Pin's ou broches "Bleuets" créés par L'Atelier de Marguerite                                                                              

Le 10.11.2024 I Le Billet du Dimanche : La pomme de terre au grand cœur !









Bienvenue dans "Le Billet du Dimanche" :

Ici, chaque dimanche (ou chaque jour férié), le contenu sera comme mon humeur du jour : imprévisible !  Attendez-vous à tout : une photo insolite...ou non, une citation inspirante, un poème improvisé, ou même un petit récit tiré de mon quotidien d'artisan (où il y a toujours une histoire à raconter, parfois même malgré moi !).
Ca sera l'occasion pour moi de partager mes pensées du moment et de vous offrir un petit moment de détente.

Et voici donc, comme promis, mon billet du dimanche ! Allez, installez-vous confortablement, c’est parti pour une nouvelle découverte…

Cette semaine, en pleine préparation d’une bonne purée maison (oui, sans additifs, sans "trucs chimiques", juste des pommes de terre, du beurre et beaucoup de beurre ! ), voilà que je tombe sur "une patate"... mais pas n’importe laquelle ! Celle-ci avait une forme toute particulière, et je vous assure que ce n'est pas le fruit de mon imagination débordante : elle avait la forme d’un cœur !

Alors là, je me suis arrêtée net. Comment devais-je interpréter ce signe ? Cupidon allait-il encore décocher sa flèche ? Oh non, ça c'est fait depuis belle lurette, et mon cœur est déjà bien pris ! Rires !

J’ai donc réfléchi (eh oui, ça m’arrive !) et la réponse m’a semblé évidente : cette pomme de terre était en réalité le reflet de l’Atelier de Marguerite ! Un atelier où l’amour et la passion sont les ingrédients secrets de chacune de mes créations. Tout ce que je réalise, je le fais avec ce supplément d'âme, cette petite dose d’amour qui, je l'espère, réchauffe vos cœurs comme une bonne purée maison réchauffe un jour pluvieux !

Voir un cœur dans une patate, c’est beau, non ?  Eh oui, certains voient des signes dans les nuages, moi je les trouve dans mes légumes ! 
Et vous, qu'auriez-vous vu dans cette pomme de terre en forme de cœur ? Un signe du destin ? Une déclaration d’amour cachée ? Ou juste un prétexte pour en faire une bonne frite ?
En tout cas, une chose est sûre : l’amour se cache parfois là où on l'attend le moins… même au fond d’un panier de pommes de terre !

Et comme toujours, vos commentaires sont les bienvenus — surtout s'ils sont accompagnés d'un sourire !
Bonne lecture et bon dimanche à tous !
Nadège.

Le 09.11.2024 I L'Atelier du Samedi : Fabriquer une Bougie Éternelle !












Bienvenue dans l'atelier du samedi, où nous allons comme "chaque samedi" nous lancer dans la confection... Oups, pardon ! J'ai failli dire "DIY" (Do It Yourself, pour les intimes). Ce terme anglais s’est infiltré partout sur le net, mais à l'Atelier de Marguerite, on aime redonner ses lettres de noblesse à notre belle langue française. Alors, parlons plutôt de "Confection par Soi-Même" !

Je vous propose donc de réaliser aujourd' hui une bougie éternelle !
Quoi de mieux qu’une bougie pour créer une atmosphère chaleureuse dans sa maison ?!
En les fabriquant soi-même, c’est encore mieux : plus économiques et personnalisables à l’infini.
Des bougies uniques qui embaumeront votre intérieur pendant cette belle saison automnale. Un projet simple, ludique et plein de charme qui apportera une touche unique à votre intérieur. Réutilisables à vie, ces bougies sont très simple à réaliser. Elles sont parfumées et toutes jolies ! 
Vous allez voir, rien de compliqué : suivez mes étapes, et à la fin, vous pourrez fièrement déclarer : "C’est moi qui l’ai faite !" Une satisfaction inégalée, je vous assure !

➡️Voici le matériel dont vous aurez besoin :

• un récipient en verre avec un couvercle de préférence, ou un bocal 
• de l’huile végétale (tournesol, arachide, etc...) 
• de l’eau,
• une bouteille en plastique,
• un bout d’essuie-tout,
• des huiles essentielles
• et une paire de ciseaux

Pour la fabrication du socle : Avec votre de paire de ciseaux, découpez le fond de la bouteille (la base en forme de marguerite par exemple) puis y faire un petit trou au centre avec la pointe de votre ciseau ciseau.
Pour la fabrication de la mèche : Enroulez l’essuie-tout très serré et insérez-le dans le centre du socle.
Couvrir au 3/4 d’eau puis 1/4 d’huile
Déposez votre socle, allumez la mèche....
Et c’est tout !

➡️Quelques astuces
Si votre bougie fume : raccourcissez la mèche
Si elle s’éteint, la mèche est en contact avec l’eau : ajouter un peu d’huile à la surface
Lorsque votre bougie s’éteindra : Remettez de l’huile et changez la mèche.

Pour la photo de ma bougie, j'ai choisi d’y mettre :

• 3 tranches d’orange pour la décoration, (attention vous devrez veiller à ce qu'elles n'abîment pas )
• des petites pignes de pin,
• des petites fleurs de lavande,
• une branche de  romarin,
• 3 gouttes d’HE d’orange

  
  
  Et voilà, votre bougie éternelle est prête à illuminer vos soirées et à impressionner vos invités ! Vous voyez, la confection par soi-même n’a rien de sorcier. Vous avez non seulement créé un objet unique et décoratif, mais vous avez aussi contribué à la planète en évitant l’achat de bougies industrielles.
  En plus, quelle satisfaction de pouvoir dire avec un petit sourire : "C'est moi qui l'ai faite !" C'est un peu comme avoir fabriqué sa propre petite étoile... sauf qu'elle ne risque pas de s'éteindre tout de suite !
  
  Au fait, n’hésitez pas à m’envoyer des photos de vos bougies éternelles ! Je me ferai un plaisir de les publier sur le site, histoire de créer une petite galerie des lumières et de montrer que vous avez l’âme d’un(e) vrai(e) artisan(e) !

  Alors, prêt(e) à vous lancer dans une nouvelle création ? Parce qu'à L'Atelier de Marguerite, l'inspiration ne s’éteint jamais !
  
  Bon Samedi !
  Nadège.

  
  
  Et...n’oubliez pas, si le cœur vous en dit, de laisser un petit commentaire ! Vos mots sont toujours les bienvenus et c’est un vrai plaisir de vous lire. Alors, n’hésitez pas, partagez vos impressions !
  
  
  
  
  

Le 08.11.2024 I Le couvercle protège canette 33 cl ! 







Depuis cet été, l’aventurière en moi a décidé de plonger dans un nouvel univers : l’impression 3D.
Toujours curieuse et avide de nouvelles techniques, j’ai suivi une formation en modélisation – c’est l’étape qui permet de concevoir l’objet en trois dimensions, avant de le fabriquer en couches superposées – et bien sûr en impression 3D elle-même.
L’impression 3D, repose sur un dépôt de filament qui s’effectue en couches successives très fines. Chauffé à haute température, ce filament, est le plus souvent en PLA, va atteindre son point de fusion et sera déposé par une buse sur le plateau de l’imprimante.
Le PLA : acide polylactique est un polyester thermoplastique, il est produit à partir d'acide lactique, lui-même obtenu par fermentation de sucres alimentaires provenant de la betterave, du maïs, de la canne à sucre...Il a le mérite d'être à la fois biosourcé ET biodégradable.
Cette impression 3D s’est révélée être un bel auxiliaire pour mon atelier, en particulier pour créer des moules qui me servent ensuite pour mes poteries en papier mâché.

Pour rester fidèle aux valeurs de mon atelier écoresponsable, je me suis tournée vers un fabricant français de PLA, la plupart des fabricants sont chinois.
Ce filament français, produit à partir d’amidon de maïs français, biodégradable et biosourcé, est davantage en phase avec mes engagements écoreponsables.Cependant, le PLA a ses contraintes : il est sensible à l’humidité et à la chaleur, ce qui limite sa conservation puisqu’il peut devenir cassant et inutilisable.

Alors pendant quelques jours, j’ai bien réfléchi : que faire des fins de bobines de PLA qui s’accumulaient dans mon atelier ?
Pas question de laisser du matériel filer sans lui donner une seconde vie !
C’est alors que l’idée a germé : pourquoi ne pas en faire de petits objets utiles, pratiques, et toujours écoresponsables ?
Ainsi, chaque centimètre de matière trouverait une nouvelle raison d'être !

Une de mes idées "lumineuses" est donc née en buvant une canette de 33 cl lors d'une balade en vélo.
Que faire d'une canette entamée lors d'une balade à vélo ou lors d'une randonnée ?
Si je la mettais dans le sac à dos... catastrophe assurée ! Vous imaginez le désastre : un sac qui fuit, les affaires trempées, et cette fameuse odeur de soda collante... Bah...pas très pratique, tout ça ! Heureusement, j’ai trouvé la solution pour éviter ce carnage..
Pour ne plus voir le contenu se répandre dans le sac à dos, j’ai imaginé un couvercle hermétique adapté aux canettes de 33cl.
Ce couvercle assure l’étanchéité, évitant ainsi les fuites dans un sac à dos.
Ce couvercle est aussi un allié précieux pour éloigner les intrus ! Fini les guêpes, mouches, et autres curieux volants qui voudraient s’inviter dans votre canette. Un petit geste, et votre boisson reste à l’abri, prête à être savourée en toute tranquillité !
En plus d’être pratique, il est personnalisable avec un prénom ou logo, est livré en lot de quatre, dans des couleurs aléatoires suivant mes fins de bobine.

Ce couvercle n’est pas seulement un accessoire ; il devient un cadeau écoresponsable, en accord avec mes valeurs d’artisanat durable.
C'est un objet utile, à petit prix, avec une finition parfaite, pour vous ou pour offrir !
Quantités limitées, alors profitez-en tant qu’ils sont disponibles !

Quand on peut joindre l'utile à l'agréable, l'idée prend tout son sens ! Créer des objets pratiques, beaux et respectueux de l'environnement, c’est tout le plaisir de l’atelier : des solutions simples qui ajoutent une touche de facilité dans notre quotidien !

Bon vendredi !
Nadège.

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4.Le 07.11.2024 I Le style Wabi Sabi ... Kézaco ?









Aujourd'hui, je vous présente un vase unique, fabriqué entièrement à la main dans mon atelier, en papier mâché, et inspiré du style japonais Wabi Sabi.
"Wabi Sabi ? Vous avez dit Wabi Sabi ? C’est du chinois, ça ? Eh non, c’est bien japonais !
Ce concept invite à voir la beauté là où on ne l’attend pas : dans les objets imparfaits, les matières brutes et la simplicité. Ici, pas de clinquant ni de symétrie parfaite, juste l'authenticité. Un style qui, comme moi, préfère le vrai au parfait ! Bref, le Wabi Sabi, c’est l’art de l’authenticité...tout sauf du toc ! et c'est tout ce qui fait son charme !

Mais... laissez-moi vous parler de la technique que j'utilise pour le papier mâché, où tout commence avec de simples et vieux papiers recyclés. Je les déchire, j'ajoute de l'eau, puis je passe le mélange au mixeur pour obtenir une pâte homogène et souple. Ensuite, j’ajoute un peu de farine pour lier le tout avec 1 cuillère à soupe de vinaigre blanc, un conservateur naturel, pour préserver cette préparation. Après 24 heures de repos, j’élimine l’excès d'eau, et ma pâte, sans aucun additif, est prête à être transformée.

Vient alors la phase la plus passionnante : la création de la pièce ! Pour ce vase, j'ai donc souhaité lui donner un style Wabi Sabi, un concept japonais qui célèbre la beauté imparfaite et naturelle des objets. Dans cette philosophie, la simplicité et les petites "imperfections" deviennent des éléments de caractère, un reflet de la nature et du temps qui passe.
Une fois le vase mis en forme, il faut environ une semaine de séchage avant de pouvoir passer à la décoration. Pour cela, j’utilise des pigments et des peintures naturelles, soigneusement appliquées, et je termine avec un vernis écologique qui donne une belle finition à l’ensemble.

Comme vous pouvez l'apercevoir sur la photo, ce vase est agrémenté d’une touche de nature supplémentaire : un manche en bois de bouleau, ramassé lors d’une de mes balades en forêt. Comme dirait Lavoisiers : "Rien ne se perd, tout se transforme"...Chaque morceau de bois a son histoire, et celui-ci s’inscrit dans celle du vase, maintenu par une ficelle en chanvre, matière brute, en parfaite harmonie avec l’esprit Wabi Sabi.

Et ainsi, après 10 jours de patience et de travail minutieux, ce vase a pris vie !
La magie de la création artisanale, c’est de voir naître un objet unique, façonné de mes mains, apporter un souffle de nature et d’authenticité.

En somme, ce vase Wabi Sabi incarne bien l'esprit de mon atelier : simplicité et respect de la nature !

Bon Jeudi !
Nadège.


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Vase Style Wabi Sabi, créé dans mon atelier.

Marque-pages ou signet ? C'est une bonne question !







Aujourd'hui, je vous présente un  article phare de mon atelier : un élégant accessoire pour vos lectures : les marque-pages ou signets de l'Atelier de Marguerite. Mais au fait, est-ce un marque-page ou un signet ?

Marque-page ou signet, quelle est la différence ?
La distinction entre les deux termes est subtile, mais intéressante. Le marque-page désigne un objet que l'on glisse entre les pages d'un livre pour marquer l'endroit où l'on s'est arrêté. Quant au signet, c'est un terme plus ancien, souvent utilisé pour des objets plus élaborés ou précieux, parfois même dotés d'une symbolique particulière.

Leur utilisation au quotidien
Que vous l’appeliez marque-page ou signet, cet accessoire a un rôle simple mais essentiel : il vous permet de retrouver facilement le fil de votre lecture, sans abîmer vos livres préférés. Que vous soyez adepte des longues soirées plongées dans un roman ou des pauses rapides pour savourer quelques pages, le marque-page ou signet est votre fidèle allié.

Alors, lequel préférez-vous ?
En fin de compte, que vous optiez pour le terme marque-page ou signet, l’essentiel est de profiter pleinement de vos lectures. Alors, à vous de choisir celui qui vous correspond le mieux, tout en ajoutant une touche unique et artisanale à vos moments de lecture.

Les marque-pages ou signets de l'Atelier de Marguerite sont fabriqués à partir de bois de bouleau, soigneusement sélectionnés dans des forêts françaises locales, gérées durablement, ils sont ornés d'un pompon en soie naturelle, ajoutant une touche d'élégance et de douceur.
Chaque pièce reflète mon savoir-faire, en mettant en valeur l’engagement envers une production écoresponsable et de proximité.
Ces marque-pages ou signets sont bien plus qu'un simple accessoire de lecture, ils deviennent un véritable trésor personnel. Pourquoi trésor ? Parce qu'ils vous accompagneront dans vos voyages littéraires, glissant entre des centaines de pages, portant en eux les souvenirs des histoires qui vous ont touché. Mais surtout, ils sont faits pour durer, pour traverser les générations. Imaginez ce petit objet, transmis de main en main, chargé de vos moments de lecture, de vos rêves et de vos pensées. Avec le temps, il deviendra une madeleine de Proust, un lien tangible entre le passé et le présent, racontant bien plus qu'une histoire, mais des fragments de votre vie....

Avec des dimensions de 15,5 cm de hauteur et 4,5 cm de largeur, ces marque-pages sont disponibles en quatre modèles uniques.
Pour les rendre encore plus spéciaux, chaque marque-page ou signet est sublimé par une citation française inspirante, soigneusement choisie parmi les œuvres de célèbres auteurs, pour accompagner vos lectures d'une touche de sagesse et de poésie.

Et voilà, vous savez désormais tout sur les marque-pages ou signets de l'Atelier de Marguerite.
Que vous les appeliez marque-pages ou signets, peu importe : ils sont faits pour durer, pour partager vos moments de sérénité, et pourquoi pas, devenir de précieux souvenirs à transmettre.
Belle journée,
Nadège.


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